Les preuves s’accumulent ! Une étude approfondie sur 191 enfants de l’école primaire qui vivent près de l’aéroport de Schiphol près d’Amsterdam, montre que de fortes concentrations de particules ultra-fines (PUF) émisent par les avions peuvent sérieusement affecter leur santé. Les enfants avec des troubles respiratoires, qui sont exposés aux vents venant de l’aéroport, souffrent plus souvent et utilisent plus de médicaments. Les affections se caractérisent par un essoufflement et une respiration sifflante. Ce sont les conclusions de nouvelles recherches de l’Institut national de la santé publique et l’environnement, RIVM, de Hollande en collaboration avec l’Université d’Utrecht et le Centre médical universitaire, AMC.
Une telle étude approfondie sur les particules ultrafines et la santé n’a jamais été réalisée autour des aéroports et devrait alarmer tout responsable qui projette une croissance extraordinaire de l’aviation mondiale.
Le RIVM poursuit l’études sur les effets de l’exposition à long terme aux particules ultra-fines émises par le trafic aérien. (Source: UECNA)
L’ADRA a mesuré des taux de PUF très élevé autour de l’aéroport de Bâle-Mulhosue.