(voir notre article précédant ici et AtmoVision)
Equipé d’un capteur individuel porté avec soi lors des déplacements à pied, à vélo ou en voiture, le volontaire mesure les taux de particules fines, PM10, PM2,5 et PM1. Les données sont enregistrées et envoyées via le smartphone sur le site Internet d’Atmo GrandEst (mise à jour différée).
Vingt personnes des trois pays autour de Bâle participent pendant un mois à cette campagne de mesure organisée par le LHA bâlois www.basler-luft.ch et patronné par Atmo GrandEst.
Parallèlement, Atmo GrandEst mesure la qualité de l’air sur et autour de l’aéroport pendant quatre semaines. C’est la campagne hivernale 2020, après les mesures effectuées l’été 2019. L’emplacement des capteurs mobile a été choisi en concertation avec l’ADRA, notamment à Saint-Louis-la-Chaussée. Les données seront compilées, analysées et mis à la disposition du public dans un rapport.
Voir les résultats de la campagne de mesure :
Luft und Hygieneamt Beider Basel, Abschlusstreffen, 20.02.2020.
Pollution de l’air hivernale, l’exemple de Strasbourg :
Les particules fines se multiplient en hiver. Avec le chauffage, premier émetteur, le trafic routier, et les conditions climatiques qui empêchent leur dispersion. Mais ces particules fines peuvent avoir des conséquences graves sur la santé. Elles seraient responsables de 48 000 décès par an en France, selon la Société européenne de cardiologie. Explications. Source DNA.
Voir la vidéo des DNA sur les mesures effectuées à Strasbourg: